
On est gentiment descendus par un sentier escarpé, en laissant passer quelques indigènes qui eux se déplaçaient au pas de course, parfois même avec des chevaux bien chargés. Le brouillard a ensuite envahi le cratère; nous qui voulions nous aérer l'eprit, c'était réussi! Nous n'avons pas croisé beaucoup de monde, mais de nombreux animaux: des poules, des cochons, des chiens, des chevaux, des taureaux chauds comme la braise. Jean-Marie s'est même trouvé un nouveau copain qui lui a fait quelques confidences...

5 commentaires:
Mouais, moi je vois surtout deux ânes gris qui conversent...
décidément,ton affinité avec les ânes n'est plus à démontrer.ça me rappelle le premier aout ou deja tu t'emmourachais d'une telle bete
J'ai tendu une immense perche. Je constate qu'il y a deux anes gris qui se sont precipites dessus...
Qu'esse tu veux, quand on nous montre une belle carotte, on fonce!
Les parents sont contents de voir vos petites mines délicieusement mongols.
Maman dit que papa arrête pas de lui parler de vous, et que ça la soule. Papa dit de vous dire que vous lui manquez énormément.
La visite de votre blog a jeté une ambiance joyeuse dans la maison... Les parents jubilent.
Enregistrer un commentaire